Vous avez peut-être remarqué que j’ai été moins actif la semaine dernière. En effet, j’étais hors du pays, occupé à recharger mes batteries pour mieux rebondir au travail et entreprendre en force les défis que les prochaines semaines mettraient sur mon chemin.
Mais partir en voyage a-t-il été simple pour moi qui a la Phénylcétonurie? Ça n’a pas vraiment été difficile.
1. La formule : C’est le point que nous ne pouvons absolument pas oublier. Il est nécessaire de continuer à prendre ses formules quotidiennement, même en voyage. Personnellement, je les mets dans la valise qui sera dans la soute à bagage. Je ne les emporte jamais dans mon bagage à main.
2. L’alcool : C’est un conseil qui s’adresse à tout le monde. La modération a bien meilleur goût. 🙂
3. Les restaurants : Aller au restaurant est toujours un petit défi et les voyages ne font pas exception. Parfois nous pouvons tout simplement opter pour le plat végétarien… quand il y en a. Sinon, il ne faut pas hésiter à en parler à votre serveur. J’ai eu la chance d’avoir un repas spécial.
4. Le buffet : C’est notre meilleur ami, car nous avons le contrôle sur ce que nous mangeons.
5. Les mets exotiques : Malheureusement, à moins qu’il ne s’agisse de fruits ou légumes, nous devons apprendre à nous en passer.
Concernant ce dernier point, ce fut sans doute la plus grande difficulté. Lors d’une excursion, une guide m’a confié qu’il est très difficile d’être végétarien à Cuba, car les légumes et fruits coûtent très cher. Leurs mets sont donc principalement composés de viande et de fruits de mer. Dommage pour nous. Mais il ne faut pas s’inquiéter; c’est vrai pour toute personne vivant à Cuba, mais les touristes sont bien gâtés à l’hôtel en termes de fruits et légumes.
Bref, la Phénylcétonurie ne m’a absolument pas empêché de passer une excellente semaine!
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